(Tango)
J'ai vu ton visage ce soir-là ...
A la porte de votre maison.
Coupez-les en teintes douces ...
ombres diffuses de la lune.
Une ligne imparfaite
couper votre joli visage ...
Avec des airs de "hypoténuse".
Dans l'éclat de vos yeux,
une ruée folle.
Dans la "timba" de cette vie,
Je suis sorti de cartes.
Pour moi, jouer pour vous,
Je ne pense pas que le «A» pour me sauver.
Dans un chaos de sentiments lâches
un trou dans mon âme.
Mes espoirs sont de plus en gigantesque,
Je souhaite, embrasser le seuil de votre maison ...
Je reste bloqué un timbre ...
Droit sur le "gaucher" ...
J'entends un tas de "notes liées"
exhalant mon verre fragile "gin" ...
Fumée se dissipe dans le ciel,
profonde "batifondo" dans ma tête.
La prière est seulement une action très timide,
Je m'agenouille comme un ascète.
Je fais toujours la même question ...
Si elle fait sens mon épreuve.
Je ne peux pas être payé de retour,
Avec votre sorcière sorts.
I "a chuté de l'aiguille"
dans le dernier "coup" ...
Mais ... Je demande un rematch,
sur la table "échecs" à froid.
Je plaide, encore une fois ...
Je laisse une chance ...
Tu m'as laissé sans pitié de l'âme ......
ouvrez-le avec un "ouvreur" ...
Daniel H Guasti
pisulinoal@yahoo.com.ar
"Batifondo" = chaos
"timba"=der jeu de hasard
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